QUELQUES éVèNEMENTS PASSéS

SAMEDI 13 MARS 2022     ♦   AUTEUR : : Aymeric ZIMMERMANN  

Inventons nos vies bas carbone

10 h, c’est tout un petit collectif qui s’est réuni ce dimanche 13 mars, dans le réfectoire de l’école Mazarick. Membres ou sympathisants de l’association TEC (Transition Ecologique Châtenay), nous étions treize à assister l’atelier « Inventons nos vies bas carbone » présenté par le président de l’association, Joseph Maire, qui a commencé par expliquer le contexte de l’atelier. Il nous a en effet brièvement rappelé les enjeux climatiques et sociaux actuels, et mis en évidence l’intérêt de tout à chacun de se questionner sur son mode de vie, ne serait-ce que prendre conscience de son propre empreinte écologique.

Durant la seconde moitié de cet atelier, Joseph nous a proposé à tous de participer à un jeu interactif : il nous a d’abord mis bout à bout des cartes mentionnant différentes thématiques du quotidien, dont la taille est proportionnelle aux émissions de gaz à effet de serre induits. L’objectif, pour atteindre une neutralité carbone, est de réduire la taille de l’ensemble des cartes jusqu’à la faire coïncider avec celle de gauche mesurant 20 centimètres. Il ne s’agissait pas bien entendu de trouver à tout prix une solution ! Mais ce jeu a été l’occasion de discuter de ce qu’est notre empreinte carbone et d’en prendre conscience.

Nous avons formé plusieurs groupes de trois à quatre personnes dans l’optique de se concentrer sur une thématique. Nous avions tous en main quelques cartes que nous avons comparé, ce qui n’a pas manqué de susciter des surprises, et des interrogations, alimentant des discussions sur l’utilisation de tel ou tel objet.

Pour conclure cet atelier, l’animateur a donné la parole à chacun des groupes de débat, afin qu’il partage leurs remarques et leurs réflexions. Nous avons eu ensuite, au travers de ces exemples, l’opportunité d’ouvrir  le débat sur la vision que chacun se fait de l’écologie. Je voudrais terminer cet article en mentionnant cette belle citation de Théodore Monod qui a clôt l’atelier : « Le peu qu’on peut faire, le très peu qu’on peut faire, il faut le faire. »

Autres reportages